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Vie Pratique

Epilation au laser : au bout d’un mois, comment ça va ?

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L’épilation au laser fait partie de mes aventures beauté depuis un peu plus d’un mois maintenant. Je vous en avais touché plusieurs mots ici et juste avant ma deuxième séance, je souhaitais partager un petit update ici.

L’épilation au laser : résumé des épisodes précédents

J’en avais terriblement marre de m’épiler / me raser sur certaines zones du corps, à savoir le maillot et les aisselles. J’ai donc décidé de sauter le pas à la fin de l’été 2016. Je vous invite à (re)découvrir mes posts précédents à ce sujet :

Epilation définitive : ça y est, je me lance !
Epilation laser : ma première séance, c’était comment ?

L’épilation au laser un mois après la première séance :

Je vous avais raconté à quel point j’avais souffert lors de cette première séance. Aujourd’hui, c’est un lointain souvenir et pourtant, je me remets à flipper à quelques heures de ma deuxième séance… Comme quoi, cela m’a tout de même plutôt marqué, en fait, cette affaire ! Voici les phases par lesquelles je suis passées en un mois :

Juste après la séance :
C’est gonflé, rouge et j’avoue que je déambule comme un cow-boy sur l’Avenue Marceau. C’est si chic… ! Je me demande si je vais parvenir à me traîner jusqu’au métro, je suis heureuse d’avoir mis un pantalon ample… Finalement, 10 minutes plus tard, cette drôle de sensation se dissipe. Je marche à nouveau correctement, j’entre dans le métro, j’oublie (presque) tout.

Le soir après la séance :
Je me tartine lesdites zones avec de la Biafine. C’est glam’, je me sens au top de la sexyness. Et je suis super heureuse que mon mec ait un truc prévu ce soir-là. C’est encore un peu gonflé et légèrement rouge. Tous les poils qui ont été « lasérifiés » sont à présent des petits points noirs. C’est franchement laid, mais je m’en moque éperdument.

J+7 après la séance :
Les petits points noirs moches sont toujours là. Je n’ai toujours pas vu passer l’ombre d’un rasoir sur ces zones « lasérifiées ». Je suis heureuse. Mais pleine de petits points noirs moches. Mais heureuse…. Mais… !!

J+14 après la séance :
Les poils cramés commencent à tomber gentiment. Je m’amuse bêtement à les enlever avec une pince à épiler : pas besoin de tirer, ça part tout seul. C’est assez impressionnant et même (presque) jouissif, je le confesse.

J+20 après la séance :
Ma vie sans poils est franchement chouette, malgré quelques points noirs un peu épars et certains poils qui repoussent. On dirait que j’ai la pelade tant c’est irrégulier selon les zones. Mais je m’en fous, car je sens que je suis une  bonne candidate pour l’épilation définitive. Je me remets à flipper pour la deuxième séance, mais au moins je m’accroche à mon objectif… Ah et autre bonheur : 0 bouton, 0 poils incarnés à l’horizon. Cela faisait des années que je n’avais pas connu ça !

La deuxième séance d’épilation au laser

La préparation du deuxième rendez-vous :
Rendez-vous vendredi 14 octobre à 15h45 au Centre Marceau. Cette fois-ci, j’ai appliqué davantage de tubes de crème anesthésiante. Je prie très fort pour que cette technique amoindrisse la douleur : j’ai tellement souffert lors de mon premier rendez-vous ! J’accorde également beaucoup plus de soin à la pose du cellophane, pour que cela soit bien occlusif. Je me rends compte que ma technique est largement plus optimale que lors de la première fois : j’utilise le cellophane d’une seule traite pour me constituer une culotte, je m’enroule en une fois sans jamais couper le cellophane. En fait, je suis plus zen que je ne le pensais : sans doute car je sais déjà à quoi m’attendre…

La longue attente du rendez-vous : J’arrive à 15h40 au Centre Marceau, là mon cœur se met à battre, ma gorge et mon ventre se nouent : ça y est, le stress monte ! Je patiente dans la salle d’attente. 5 minutes… 15 minutes… 20 minutes… Le retard me laisse le temps de cogiter, je me pose mille questions à la seconde : « et si j’ai aussi mal que la dernière fois ?! Non mais pire, si j’ai trois fois plus mal ?! »…

A 16h20, on me demande d’aller enlever la crème anesthésiante. Chouette, me dis-je : je vois enfin le bout de ces presque 45 minutes de retard… Eh bien non… On me fait encore patienter – sans aucune explication, sans aucune excuse non plus – pour enfin être prise en charge à 16h50 ( !!) par une adorable infirmière. Elle au moins a la présence d’esprit de présenter des excuses pour ces 70 minutes de retard, elle comprend mon stress : surtout quand je lui explique que j’étais au bord du malaise lors de la première séance.

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